dimanche 8 mai 2011

Tu parles de passion sans même être capable de la voir dans mes yeux...


Passion : Mouvement violent de l'âme.
Emotion très forte et durable qui vainc la raison.
Amour extrême.
Désir très vif.





Tu sais, tu n'as rien à me faire payer. Et tu sais aussi mieux que moi ce que j'ai pu te dire. Tu es là, a poser des tonnes de questions pour te rassurer. Mais moi je te dis que ça ne vaut rien. On évolue, et ce que j'ai pu te dire il y a encore un mois, et tout ce que j'ai dis avant cela, ça n'est déjà plus valable.


J'ai un jour dis qu'il n'y avait pas de passion entre nous. Quel niveau de connerie démesurée. Tu sais la vérité, c'est que j'ai peur de tout donner, peur que l'autre sache exactement ce que je ressens. La vie m'a prouvé qu'on peut être démonstratif à l’extrême et se retrouver seul, déposé sur un trottoir et laissé en arrière.


Je vais te dire une chose. J'ai fais deux erreurs. L'erreur d'avoir donné beaucoup à une personne qui ne valait rien. Et l’erreur de te laisser croire que je ne t'aime pas passionnément. 


J'accepte ton passé, cette accumulation de beaux souvenirs avec elle. Et jamais je ne pourrais te le reprocher. Mais sache que moi aussi j'ai du mal à voir en toi. Je te vois si souriante avec les gens, je ne sais pas du tout où j'en suis, pas du tout ce que tu penses vraiment. J’aimerai ne plus jamais lire le dégoût dans tes yeux. Ca fausse tout, et je n'y crois plus dans ces moments là.


La passion me dévore de l'intérieur, c'est ce qui me fait tenir, c'est ce qui me permet de te retenir, mais, je n'aime pas la passion, parce que rien ne me prouve que toi tu me retiendras.

dimanche 1 mai 2011

Je te raconterai l'histoire de ce roi mort ne n'avoir pas pu te rencontrer

Le titre est très clichet, mais après tout, je le le suis aussi...


Je ne sais plus où j'en suis, ou même qui je suis? Je suis peut-être celle qui te comble, peut-être ta pire ennemie. Je sais juste que je me suis perdue. Tu es pourtant bien réelle, notre histoire aussi. Mais c'est quoi notre histoire, dis le moi, je t'en prie. Dis-moi que ce n'est pas rien, le néant total. Pour moi notre histoire a commencée à l'ombre d'un cerisier. La perfection, l'espoir et l'amour presque tangible. Je suis perdue, comment te raisonner, comment pourrais-je te prouver simplement tout ce que tu es pour moi. Et quoi que tu dises, je ne suis pas aveugle. Tu es ma femme enfant, ma femme fatale en même temps. L'équilibre quasi parfait, entre l'espièglerie et la maturité. Tout ça tu le sais, je te le dis, mais ça ne suffit pas, ça n'a l'air que de mensonges à tes yeux. Ouvre moi une bonne fois pour toute le coeur, viole mon intérieur que tu saches enfin. Je ne connais pas les belles paroles, j'en ai connu beaucoup trop. Je te dis ce que je pense, sans tabou ni retenue. Mais si tu le veux, je pourrais te dire que notre histoire se terminera peut-être ce soir, que tu n'es rien à mes yeux, que je trouverai quelqu'un mieux que toi, et que je te laisserai crever... ça, se serait des mensonges, mais peut-être que ça te rassurerait.