Tu parles de passion sans même être capable de la voir dans mes yeux...
Passion : Mouvement violent de l'âme.
Emotion très forte et durable qui vainc la raison.
Amour extrême.
Désir très vif.
Tu sais, tu n'as rien à me faire payer. Et tu sais aussi mieux que moi ce que j'ai pu te dire. Tu es là, a poser des tonnes de questions pour te rassurer. Mais moi je te dis que ça ne vaut rien. On évolue, et ce que j'ai pu te dire il y a encore un mois, et tout ce que j'ai dis avant cela, ça n'est déjà plus valable.
J'ai un jour dis qu'il n'y avait pas de passion entre nous. Quel niveau de connerie démesurée. Tu sais la vérité, c'est que j'ai peur de tout donner, peur que l'autre sache exactement ce que je ressens. La vie m'a prouvé qu'on peut être démonstratif à l’extrême et se retrouver seul, déposé sur un trottoir et laissé en arrière.
Je vais te dire une chose. J'ai fais deux erreurs. L'erreur d'avoir donné beaucoup à une personne qui ne valait rien. Et l’erreur de te laisser croire que je ne t'aime pas passionnément.
J'accepte ton passé, cette accumulation de beaux souvenirs avec elle. Et jamais je ne pourrais te le reprocher. Mais sache que moi aussi j'ai du mal à voir en toi. Je te vois si souriante avec les gens, je ne sais pas du tout où j'en suis, pas du tout ce que tu penses vraiment. J’aimerai ne plus jamais lire le dégoût dans tes yeux. Ca fausse tout, et je n'y crois plus dans ces moments là.
La passion me dévore de l'intérieur, c'est ce qui me fait tenir, c'est ce qui me permet de te retenir, mais, je n'aime pas la passion, parce que rien ne me prouve que toi tu me retiendras.
Escaped Soul
dimanche 8 mai 2011
dimanche 1 mai 2011
Je te raconterai l'histoire de ce roi mort ne n'avoir pas pu te rencontrer
Le titre est très clichet, mais après tout, je le le suis aussi...
Je ne sais plus où j'en suis, ou même qui je suis? Je suis peut-être celle qui te comble, peut-être ta pire ennemie. Je sais juste que je me suis perdue. Tu es pourtant bien réelle, notre histoire aussi. Mais c'est quoi notre histoire, dis le moi, je t'en prie. Dis-moi que ce n'est pas rien, le néant total. Pour moi notre histoire a commencée à l'ombre d'un cerisier. La perfection, l'espoir et l'amour presque tangible. Je suis perdue, comment te raisonner, comment pourrais-je te prouver simplement tout ce que tu es pour moi. Et quoi que tu dises, je ne suis pas aveugle. Tu es ma femme enfant, ma femme fatale en même temps. L'équilibre quasi parfait, entre l'espièglerie et la maturité. Tout ça tu le sais, je te le dis, mais ça ne suffit pas, ça n'a l'air que de mensonges à tes yeux. Ouvre moi une bonne fois pour toute le coeur, viole mon intérieur que tu saches enfin. Je ne connais pas les belles paroles, j'en ai connu beaucoup trop. Je te dis ce que je pense, sans tabou ni retenue. Mais si tu le veux, je pourrais te dire que notre histoire se terminera peut-être ce soir, que tu n'es rien à mes yeux, que je trouverai quelqu'un mieux que toi, et que je te laisserai crever... ça, se serait des mensonges, mais peut-être que ça te rassurerait.
Je ne sais plus où j'en suis, ou même qui je suis? Je suis peut-être celle qui te comble, peut-être ta pire ennemie. Je sais juste que je me suis perdue. Tu es pourtant bien réelle, notre histoire aussi. Mais c'est quoi notre histoire, dis le moi, je t'en prie. Dis-moi que ce n'est pas rien, le néant total. Pour moi notre histoire a commencée à l'ombre d'un cerisier. La perfection, l'espoir et l'amour presque tangible. Je suis perdue, comment te raisonner, comment pourrais-je te prouver simplement tout ce que tu es pour moi. Et quoi que tu dises, je ne suis pas aveugle. Tu es ma femme enfant, ma femme fatale en même temps. L'équilibre quasi parfait, entre l'espièglerie et la maturité. Tout ça tu le sais, je te le dis, mais ça ne suffit pas, ça n'a l'air que de mensonges à tes yeux. Ouvre moi une bonne fois pour toute le coeur, viole mon intérieur que tu saches enfin. Je ne connais pas les belles paroles, j'en ai connu beaucoup trop. Je te dis ce que je pense, sans tabou ni retenue. Mais si tu le veux, je pourrais te dire que notre histoire se terminera peut-être ce soir, que tu n'es rien à mes yeux, que je trouverai quelqu'un mieux que toi, et que je te laisserai crever... ça, se serait des mensonges, mais peut-être que ça te rassurerait.
mardi 19 avril 2011
Le parfum des jours heureux
Les secondes passent...
Je n'ai plus peur de vieillir, si c'est avec toi. On refera le monde, on s'inventera notre vie. Comme un doux voyage... les sentiments pour guides, ton sourire comme inspiration. Voir toutes ces matinées défilées, toi lovée dans le creux de mes bras. Je ne demande que ça.

Je veux te voir changer, avec moi. Je veux voir notre maison, nos ambitions. Je veux voir les premières rides apparaître aux coins de tes yeux, et crois-moi, elles ne gâcheront rien. Je veux te voir le ventre rond, que tu le veuilles ou non...
vendredi 25 février 2011
Insomnie
Se perdre dans la nuit, un casque sur les oreilles et écouter les musiques qui font vibrer.
Titiller, triturer et torturer cet organe mou qui bat au fond de ma poitrine. Qu'il me prouve qu'il existe, que je vie et que j'aime.
Titiller, triturer et torturer cet organe mou qui bat au fond de ma poitrine. Qu'il me prouve qu'il existe, que je vie et que j'aime.
jeudi 24 février 2011
samedi 15 janvier 2011
Moi, je veux une vie en technicolor
Viens-là...
Dans un monde d'illusions, il y a Elle... Comme l'espoir d'une vie dans un milieu aride.
Ne jamais s'être sentie aussi vivant.
Elle, c'est l'isolement et la présence, un visage paisible et torturé, la complicité installée et le manque de confiance, le rêve partagé et l'autre caché, l'inconnu et le familier, la certitude et le doute, le coup de gueule et le coup de grâce, le reproche et le remerciement, l'accusation et l'envie terrible de se faire pardonner. L'envie de se retrouver crucifier, l'envie de crever à ses pieds, crever devant sa beauté, la supplier de pouvoir la toucher, encore une fois.
Dans un monde d'illusions, il y a Elle... Comme l'espoir d'une vie dans un milieu aride.
Ne jamais s'être sentie aussi vivant.
Elle, c'est l'isolement et la présence, un visage paisible et torturé, la complicité installée et le manque de confiance, le rêve partagé et l'autre caché, l'inconnu et le familier, la certitude et le doute, le coup de gueule et le coup de grâce, le reproche et le remerciement, l'accusation et l'envie terrible de se faire pardonner. L'envie de se retrouver crucifier, l'envie de crever à ses pieds, crever devant sa beauté, la supplier de pouvoir la toucher, encore une fois.
dimanche 2 janvier 2011
mardi 21 décembre 2010

lundi 20 décembre 2010
Heart in the Cage
Ma silhouette se dessine sur la tienne. Un reflet sur une vitre, toi derrière. Nos yeux se confondent, nos deux visages ne font qu'Un.
Pour ma T-Chii..
J'ai toujours aimé la gare. Ce lieu de passage, d'arrivé et de départ, les grondements et sifflements des train. Mon coeur est lourd et mes pieds sont ancrés sur ses pavés. Je reste là, j'ai lâché ta main. Le poids de mon âme qui se cache pour pleurer m'immobilise. Je te vois glisser de plus en plus vite. Puis tu disparais de ma vue. Un départ, surement, mais d'avantage la promesse d'un beau retour.
I am sorry you were thinking i would steal your fire.
The heart beats in its cage.
Pour ma T-Chii..
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